2010.08.09
Les médecins de l'hôpital avec plus d'audace m'ont présenté une vision de la vie de Laura sous un respirateur. Je ne voulais pas les croire, mais au cas où j'ai décidé de trouver sur ce sujet autant d'informations que possible. Avec l'aide d'infirmières de soins intensifs du nouveau-né j'ai trouvé une jeune fille de Trojmiasto (Pologne) qui, comme Laura ne respire pas de causes indéterminées. Nous avons décidé avec mon mari nous rencontrons avec la mère d'un enfant malade. La jeune fille a fini un an et vit dans la maison relié à un respirateur. Médecins de Gdansk ne pouvait non plus de l'aide et, comme notre Laura, ils ont l'envoyé à la thérapie à Varsovie. La jeune fille a parcouru un long chemin, et des dizaines de tests, mais malheureusement les parents ne savent pas encore, pourquoi est-elle malade. Elle a une trachéotomie pour être connecté à respirateur. Elle a également une stomie digestive, car, pour des raisons inconnues, elle ne peut pas manger et doit être alimenté à travers la paroi abdominale directement dans l'estomac. En dépit des problèmes avec la respiration, la jeune fille - comme Laura - est en bonne santé physiquement et mentalement. Parler avec la mère de l'enfant nous a donné beaucoup, parce que nous nous sommes préparés pour beaucoup de difficultés. Néanmoins, le mari et moi sommes sorties de cette randez-vous très optimiste, car il nous a semblé très peu probable que notre fille devrait être un tels deuxième accident. Dans le pire des cauchemars je n'imagine pas la vie de ma fille à un respirateur et la mutilation de mon enfante - faire un trou dans le cou pour le raccordement à l'appareil (trachéotomie) et les trous dans l'estomac pour l'alimentation (stomie digestive).
Je me suis promis que je vais penser positivement, donc des dizaines de fois par jour j'ai me répète dans mon esprit: "ma fille a bonne santé et bientôt elle va rentrer chez nous." Malheureusement, en assoyant tous les jours en réanimation c'est très difficile de maintenir l'optimisme, parce que chaque jour j'ai rencontré des enfants très malades et leurs parents désemparés. Pendant les quelques semaines de mon séjour dans l'hôpital deux petits enfants sont décédés, dont un presque aux mains de sa mère ...